Des terres, des engins, des produits : tout pour vos projets agricoles
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Nos solutions
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De terres arables
Mais non exploitée
Des terres fertiles, prêtes à cultiver
La RDC possède plus de 80 millions d’hectares de terres arables, dont une grande partie reste inexploitée. Avec Agrobusiness.cd, accédez facilement à ces espaces fertiles grâce à notre service de mise en relation entre propriétaires et porteurs de projets agricoles.
Un marché à exploiter, des pertes à réduire
Avec plus de 100 millions d’habitants, la RDC dispose d’un marché agricole vaste et en constante expansion. Pourtant, près de 17 % des récoltes sont perdues chaque année après la moisson. Agrobusiness.cd s’engage à réduire ces pertes en connectant directement producteurs et acheteurs, garantissant ainsi un écoulement rapide des produits et une meilleure valorisation des récoltes.
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Un marché agricole en pleine expansion
Avec plus de 100 millions d’habitants, la RDC offre un marché agricole vaste et en pleine croissance. La demande en produits alimentaires augmente chaque année, ouvrant de réelles opportunités pour producteurs, commerçants et investisseurs.
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Réduire les pertes, valoriser chaque récolte
Agrobusiness.cd En reliant directement agriculteurs et acheteurs, notre plateforme réduit les pertes post-récoltes et assure aux producteurs un écoulement rapide de leurs récoltes, tout en garantissant aux consommateurs des produits frais.
Boostez vos récoltes avec Agrobusiness.cd.
Marketplace de produits agricole
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Mise en relation spécialisée
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Agriculture de précision & conseils
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Formation & accompagnement
Avec plus de 100 millions d’habitants, la RDC offre un marché agricole vaste et en pleine croissance. La demande en produits alimentaires augmente chaque année, ouvrant de réelles opportunités pour producteurs, commerçants et investisseurs.
Les richesses agricoles des 26 provinces
Accédez à des informations fiables sur les cultures, les productions et les terres agricoles dans toutes les provinces de la RDC, pour mieux planifier et développer vos projets.
Profil agricole et potentiel des 26 provinces de la RDC
chacune des 26 provinces, la superficie officielle, les cultures pratiquées (d’après la carte interactive ; une case vide signifie que la culture n’est pas signalée), des indications sur les terres arables/exploitations ou les productions (lorsqu’une monographie est disponible) ainsi que les principales richesses agricoles ou d’élevage.
Objectifs de Développement Durable
Notre engagement pour les Objectifs de Développement Durable
Agrobusiness.cd, nous inscrivons nos actions dans la vision des Objectifs de Développement Durable. Nous œuvrons pour renforcer la sécurité alimentaire, réduire la pauvreté rurale, promouvoir l’égalité des chances dans l’agriculture, créer des emplois décents et encourager des pratiques respectueuses de l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique.
01 Pas de pauvreté
Mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030 reste au cœur de l’Agenda 2030 pour le développement durable. Vivre avec moins de 2,15 dollars par jour (PPA 2017) définit cette condition qui, malgré des reculs notables au cours des dernières décennies, connaît aujourd’hui un ralentissement préoccupant.
La crise liée à la COVID-19 a marqué un point de rupture : pour la première fois depuis une génération, près de 90 millions de personnes supplémentaires sont retombées dans l’extrême pauvreté par rapport aux prévisions initiales. Déjà avant la pandémie, le rythme des avancées était en perte de vitesse, et les dernières estimations indiquent qu’à la fin de 2022, environ 670 millions d’individus (soit 8,4 % de la population mondiale) vivaient encore dans des conditions extrêmes, effaçant presque trois années de progrès.
Si la tendance actuelle persiste, près de 575 millions de personnes, soit 7 % de la population mondiale, pourraient encore être concernées en 2030, la majorité vivant en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, la faim a retrouvé son niveau d’il y a près de vingt ans, aggravant la vulnérabilité de millions de familles.
Les causes profondes de la pauvreté
La pauvreté est multidimensionnelle. Elle résulte du chômage, de l’exclusion sociale et d’une exposition accrue aux crises sanitaires, climatiques et économiques. Ces facteurs réduisent les capacités productives et accentuent la précarité.
Pourquoi agir collectivement ?
Parce que notre bien-être dépend aussi de celui des autres. L’inégalité croissante freine la croissance économique, fragilise la cohésion sociale et augmente les risques de conflits. La lutte contre la pauvreté est donc à la fois un impératif humain et une nécessité économique et politique.
Le rôle clé de la protection sociale
Des systèmes solides de protection sociale sont essentiels pour prévenir la chute de millions de personnes dans la pauvreté. Pourtant, plus de 4 milliards d’individus (55 % de la population mondiale) en sont encore privés. La pandémie a montré l’importance de ces dispositifs, mais aussi leurs limites : entre février 2022 et février 2023, 105 pays ont mis en place près de 350 mesures d’urgence, dont la majorité restait temporaire. Pour atteindre les ODD, des systèmes universels, durables et adaptés aux contextes nationaux doivent être instaurés.
02 Faim « zéro »
L’Objectif de Développement Durable n°2 vise à mettre fin à la faim et à assurer l’accès de tous à une alimentation saine et suffisante d’ici 2030. Pourtant, la tendance mondiale est préoccupante : depuis 2015, la faim et l’insécurité alimentaire progressent à un rythme inquiétant, accentuées par les conflits armés, les chocs climatiques, la pandémie et l’augmentation des inégalités sociales.
En 2022, près de 735 millions de personnes – soit 9,2 % de la population mondiale – souffraient de la faim chronique, contre beaucoup moins en 2019. Dans le même temps, environ 2,4 milliards de personnes étaient touchées par une insécurité alimentaire modérée ou sévère, un chiffre en hausse de près de 400 millions en seulement trois ans.
La situation des enfants reste alarmante : en 2022, plus de 148 millions souffraient d’un retard de croissance et 45 millions d’émaciation, deux formes graves de malnutrition qui limitent leur développement et leur avenir.
Si rien ne change, plus de 600 millions de personnes risquent encore de souffrir de la faim d’ici 2030, compromettant directement la réalisation de l’ODD 2.
Les causes profondes
La recrudescence de la faim s’explique par une combinaison de facteurs :
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Conflits qui perturbent la production et l’accès à la nourriture.
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Changements climatiques qui réduisent la productivité agricole.
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Hausse des prix alimentaires liée aux chocs économiques.
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Faibles investissements dans l’agriculture et infrastructures rurales.
Pourquoi agir ?
La faim et la malnutrition freinent le développement humain. Elles limitent la productivité, exposent davantage aux maladies et enferment des millions de personnes dans un cycle de pauvreté. Au-delà de la souffrance humaine, la faim compromet aussi la réalisation d’autres ODD comme l’éducation, la santé ou l’égalité des sexes.
Comment atteindre l’objectif “Faim Zéro” ?
La lutte contre la faim passe par une approche globale :
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Développer des systèmes alimentaires durables et inclusifs.
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Accroître les investissements agricoles pour améliorer la production et créer des emplois.
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Mettre en place des programmes de protection sociale, afin que les plus vulnérables aient accès à une alimentation suffisante.
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Encourager une consommation responsable, réduire le gaspillage alimentaire et renforcer le rôle des marchés locaux.
Ce que chacun peut faire
En tant que citoyen et consommateur, chacun peut contribuer : privilégier les produits locaux, soutenir les agriculteurs, réduire le gaspillage et exiger des décideurs des politiques favorisant une alimentation saine pour tous.
Un monde libéré de la faim est possible. C’est aussi la clé d’un avenir plus équitable, plus sain et plus durable.
03 Égalité entre les sexes
L’égalité entre les femmes et les hommes reste un enjeu majeur du développement durable. Si des avancées réelles ont été obtenues ces dernières décennies, le monde est encore loin d’atteindre cet objectif d’ici 2030. La moitié de l’humanité, composée de femmes et de filles, continue de subir des inégalités profondes qui freinent la prospérité collective.
Sur le marché du travail, l’écart salarial persiste : à l’échelle mondiale, une femme gagne en moyenne 23 % de moins qu’un homme. À cela s’ajoute la charge disproportionnée des tâches domestiques et des soins non rémunérés, trois fois plus élevée pour les femmes que pour les hommes. La pandémie de Covid-19 a encore accentué ces déséquilibres, avec une hausse des violences sexuelles signalées, une surcharge des responsabilités familiales due à la fermeture des écoles et une forte exposition au risque sanitaire, puisque 70 % du personnel de santé est féminin.
Les projections sont préoccupantes : à ce rythme, il faudrait 300 ans pour mettre fin au mariage des enfants, près de 286 ans pour corriger les lacunes juridiques discriminatoires, 140 ans pour parvenir à une représentation égale des femmes dans les postes de direction et presque un demi-siècle pour atteindre la parité dans les parlements nationaux.
Pour inverser la tendance, il est indispensable d’investir davantage dans les politiques publiques, d’adopter des réformes structurelles et de placer la parité au cœur des institutions, des budgets et des programmes.
Malgré ces difficultés, certains progrès notables sont visibles : la baisse du mariage des enfants, le recul des mutilations génitales féminines et une représentation politique féminine qui n’a jamais été aussi élevée. Mais la route reste longue. Les violences, les discriminations et les atteintes aux droits reproductifs continuent de priver les femmes et les filles de leur pleine participation à la vie sociale et économique.
Pourquoi cela nous concerne tous ? Parce que l’égalité entre les sexes n’est pas seulement une question de justice, c’est un levier essentiel de développement. Elle conditionne la réduction de la pauvreté, la qualité de l’éducation, l’accès à la santé et le bien-être des générations futures.
Chacun a un rôle à jouer :
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Les filles : poursuivre leurs études et défendre leur droit à la santé et à l’éducation.
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Les femmes : briser les préjugés et se battre pour des opportunités égales.
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Les hommes et les garçons : devenir des alliés dans la construction de relations respectueuses et équitables.
Au niveau international, des initiatives comme Spotlight, portée par l’Union européenne et l’ONU, s’attaquent directement aux violences faites aux femmes. C’est aujourd’hui le programme le plus ambitieux au monde consacré à l’élimination de ces violences.
04 Travail décent et croissance économique
L’objectif 8 vise à promouvoir une croissance économique partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous.
L’économie mondiale est en proie à de multiples crises qui la menacent gravement. La croissance du pib réel mondial par habitant devrait ralentir en 2023 et, face à une situation économique de plus en plus difficile, de plus en plus de travailleurs se tournent vers l’emploi informel.
Au niveau mondial, la productivité du travail a augmenté et le taux de chômage a diminué. Toutefois, des progrès supplémentaires sont nécessaires pour accroître les possibilités d’emploi, en particulier pour les jeunes, réduire l’emploi informel et les inégalités sur le marché du travail (notamment en ce qui concerne l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes), promouvoir des environnements de travail sûrs et sécurisés et améliorer l’accès aux services financiers afin de garantir une croissance économique durable et inclusive.
Le taux de chômage mondial a baissé de manière significative en 2022, passant de 6,6 % en 2020 à 5,4 %, les économies commençant à se remettre du choc de la pandémie de covid-19. Ce taux était inférieur au niveau de 5,5 % enregistré en 2019 bien avant la pandémie.
Que signifie « travail décent » ?
Le travail décent, c’est la possibilité pour chacun d’obtenir un travail productif et un revenu équitable, la sécurité sur le lieu de travail et la protection sociale pour les familles, de meilleures perspectives de développement personnel et d’intégration sociale. L’absence persistante de possibilités de travail décent, l’insuffisance des investissements et la sous-consommation entraînent une érosion du contrat social fondamental qui sous-tend les sociétés démocratiques, à savoir que tous doivent participer au progrès.
Quels sont les défis ?
Le manque persistant de perspectives de travail décent, l’insuffisance des investissements et la sous-consommation contribuent à l’érosion du contrat social de base : la participation de tous au progrès.
La création d’emplois de qualité reste un défi majeur pour presque toutes les économies.
La réalisation de l’objectif 8 nécessitera une réforme en profondeur du système financier pour faire face à l’augmentation de la dette, à l’incertitude économique et aux tensions commerciales, tout en promouvant une rémunération équitable et un travail décent pour les jeunes.
Une croissance économique soutenue et inclusive peut favoriser le progrès, créer des emplois décents pour tous et améliorer le niveau de vie.
Combien de personnes sont au chômage ?
Le nombre total de chômeurs dans le monde en 2022 est estimé à 192 millions. Les projections indiquent que le chômage mondial devrait diminuer davantage pour atteindre 5,3 % en 2023, ce qui équivaut à 191 millions de personnes.
La pandémie a touché de manière disproportionnée les femmes et les jeunes sur les marchés du travail. La reprise de l’emploi et de la participation au marché du travail a été plus forte chez les femmes que chez les hommes.
Toutefois, les jeunes âgés de 15 à 24 ans continuent de rencontrer de graves difficultés pour obtenir un emploi décent, et le taux de chômage des jeunes dans le monde en 2022 est beaucoup plus élevé que celui des adultes âgés de 25 ans et plus. Dans le monde, près d’un jeune sur quatre ; soit 289 millions, ne suivait pas d’études, d’emploi ou de formation
Que pouvons-nous faire pour résoudre ces problèmes ?
Pour offrir aux jeunes les meilleures chances de transition vers un emploi décent, il faut investir dans l’éducation et la formation de la meilleure qualité possible, fournir aux jeunes des compétences qui correspondent aux exigences du marché du travail, leur donner accès à la protection sociale et aux services de base quel que soit leur type de contrat, ainsi qu’uniformiser les règles du jeu pour que tous les jeunes aspirants puissent atteindre un emploi productif indépendamment de leur sexe, de leur niveau de revenu ou de leur origine socioéconomique.
Les pouvoirs publics peuvent œuvrer à la mise en place d’économies dynamiques, durables, innovantes et centrées sur les personnes, en promouvant l’emploi des jeunes et l’autonomisation économique des femmes, en particulier, ainsi qu’un travail décent pour tous.
La mise en œuvre de mesures de santé et de sécurité adéquates et la promotion d’environnements de travail favorables sont fondamentales pour protéger la sécurité des travailleurs, en particulier pour les travailleurs du secteur de la santé et ceux qui fournissent des services essentiels.
05 Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques
Le réchauffement climatique n’épargne aucun continent et affecte progressivement chaque pays et chaque communauté. Ses impacts, amplifiés par les activités humaines et les émissions de gaz à effet de serre, se traduisent par une accélération inquiétante des dérèglements environnementaux : phénomènes météorologiques extrêmes, inondations, sécheresses prolongées ou encore élévation du niveau des mers.
Si rien n’est fait, ces bouleversements risquent d’anéantir des années d’efforts en matière de développement, d’accentuer les migrations forcées et de générer de nouvelles tensions sociales et géopolitiques. Les pertes économiques et humaines seraient alors bien plus lourdes que les investissements nécessaires pour y faire face dès aujourd’hui.
Un objectif clair : limiter le réchauffement
Pour contenir l’augmentation des températures à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, les émissions mondiales doivent diminuer de près de moitié d’ici 2030. Pourtant, l’écart reste considérable entre les promesses formulées et les actions réellement engagées. Au-delà des discours, il est urgent de transformer nos économies vers des modèles sobres en carbone, résilients et inclusifs, afin de viser la neutralité climatique.
Des conséquences déjà visibles
La décennie 2010-2019 a été la plus chaude jamais enregistrée. Incendies de forêts, ouragans, inondations et sécheresses ont touché l’ensemble des régions du monde, affectant de manière disproportionnée les pays les plus vulnérables. Entre 2010 et 2020, les populations exposées aux inondations et tempêtes dans les zones sensibles ont connu un taux de mortalité jusqu’à 15 fois plus élevé que dans les régions plus protégées.
Les coûts de l’inaction
Si les émissions continuent au rythme actuel, la planète pourrait se réchauffer de plus de 3 °C, avec des répercussions dramatiques sur les écosystèmes, l’agriculture et la disponibilité des ressources en eau. De telles pressions risquent d’alimenter l’insécurité alimentaire, les conflits liés aux ressources et de freiner les perspectives de développement.
Des efforts à renforcer
Depuis l’Accord de Paris adopté en 2015, les pays se sont engagés à réduire leurs émissions et à renforcer leurs plans d’adaptation. Des progrès existent : le recours aux énergies renouvelables s’accélère, et de plus en plus de pays élaborent des stratégies nationales pour renforcer leur résilience. Mais ces efforts restent encore en deçà des besoins réels.
Le financement climatique mondial, estimé à 803 milliards de dollars par an en 2019-2020, est en hausse mais demeure insuffisant. Pire encore, les flux liés aux énergies fossiles restent supérieurs à ceux consacrés à l’atténuation et à l’adaptation. Pourtant, investir dans la transition n’est pas seulement une exigence écologique, mais également une opportunité économique et sociale pour construire un avenir plus sûr et plus durable.
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